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Reflexions du Jour: D’ou vient l’idée

Je suis en train d’apprendre le français actuellement. Donc, j’essaie d’écrire quelques pensées chaque jour comme réflexion. J’espère que ChatGPT me corrigera de moins en moins chaque jour.

Je sais qu’il existe de nombreuses façons d’écrire des histoires. Il y a assez d’écrits et de blogs qui tentent de poser des questions : D’où vient l’idée ? Comment la trouve-t-on ? Comment peut-on améliorer notre créativité ?

Peut-être que je pourrais également essayer de suivre le même sujet, mais je le laisse pour un autre jour lorsque j’ai un blocage de pensées.

Au lieu de cela, je veux exprimer le fait que je vais faire une tentative pour créer une histoire, avant de vous expliquer comment je la trouve. On peut commencer par les méthodes que je suis souvent. Plusieurs fois, j’utilise la méthode de trouver une morale à transmettre, une leçon que je veux que le lecteur apprenne, puis je trouve l’intrigue et les personnages avec lesquels je peux la dissimuler dessous.

Cela donne un impact à la fin de l’histoire. Mes personnages sont faits pour servir l’expérience, ils ne sont pas au centre de l’histoire. Il y a un but spécifique. Mais malgré tout, je sais que ce sont leurs fables, alors je trouve un moyen de souligner leur humanité avec une anecdote forte qui met en valeur leur caractéristique spécifique qui semble ne pas être dans l’objectif que j’ai déjà énoncé. Ainsi, le public peut visualiser, mais malheureusement, c’est la seule chose qui donne cet effet. Donc, les personnages ne sont pas vides, mais ils ne sont pas non plus complets. Ils sont là pour la progression de l’histoire afin de donner au narrateur, ou même à lui-même, l’opportunité de dire quelque chose qui aurait peut-être été placé dans un monologue.

La prochaine fois, je veux faire quelque chose de différent. Je veux essayer d’être moins sérieux. Je veux parfois courir sans direction. Je veux créer un univers. Des personnages. Des paysages. À partir desquels une histoire peut émerger.

Peut-être que cela commencera demain.

Réflexion de la journée: espaces négatifs

J’ai pris du temps pour améliorer mon français maintenant. Alors, je pense que je vais faire de petites réflexions chaque jour. J’espère que les corrections que ChatGPT fait vont être de moins en moins nombreuses chaque jour 😉

Aujourd’hui, je réfléchis aux espaces négatifs. Ces brefs moments de répit dans l’esprit, sans aucune pensée qui le traverse. Ces espaces négatifs où de nouvelles idées peuvent émerger, pour le meilleur ou pour le pire. Des espaces sans direction définie, qui ne cherchent pas à en avoir une. Je ne parle pas des idées complètes qui surgissent avec force et tumulte, puis tombent dans un silence instantané, occupant un espace physique à ce moment-là. Non, elles n’étaient pas là, mais elles trouvent un instant de silence, se mêlant à la quiétude, au vide, à l’espace négatif, sans que l’on sache si elles émergeront de cette négativité pour devenir positives.

Je pense à l’espace négatif, mais pas dans un contexte artistique. Plutôt dans le contexte de la vie.

Quand tu te trouves dans une pièce, tu observes les objets qui occupent l’espace.

Un tableau, une table, des plantes, un piano.

Mais c’est l’espace négatif qui te donne l’opportunité de respirer. De réaliser qu’il y a bien plus de place pour grandir, même si ce n’est pas nécessaire. De trouver la paix. Cet espace où le monde s’ouvre, est présent, avec bien plus de potentiel, et pourtant déjà complet.

Les enfants voient dans l’espace négatif une source d’excitation et de possibilités. “C’est là que je veux créer,” pensent-ils. Beaucoup d’adultes perdent ce sens de l’aventure. Mais certains le conservent, découvrant ainsi d’autres secrets. Ils apprennent la valeur de laisser cet espace tranquille, de simplement l’observer.

D’être là avec lui.

De le laisser comme un souvenir.

D’être là.