Je suis actuellement en train d’apprendre le français. Ainsi, j’ai décidé d’écrire quelques mots chaque jour comme réflexions quotidiennes. J’espère que ChatGPT aura de moins en moins de corrections à faire chaque jour.
Le sujet d’aujourd’hui concerne les affirmations. C’est un thème qui suscite beaucoup de doutes chez certaines personnes. Elles lèvent les yeux au ciel et le rangent dans la catégorie de la pseudoscience. Cependant, je soutiens qu’elles peuvent être puissantes dans certains contextes. Elles jouent un rôle très important dans un aspect spécifique du parcours de santé mentale : lorsqu’une personne les prononce à partir d’un état de désespoir. Quand elles semblent mensongères, l’individu doit accomplir certaines actions pour y croire, et en les affirmant, cela l’aide à croire. Une fois la croyance établie, les affirmations servent de rappel. La personne a besoin de ce rappel, sinon elle risque de devoir recommencer le processus. Et finalement, cela devient une affirmation.
Prises isolément, les affirmations peuvent certainement sembler relever de la pseudoscience. Mais accompagnées d’actions, elles acquièrent une importance qui diminue progressivement à mesure que les mots proviennent d’une personne avançant dans son processus.
Alors, pour une personne qui a déjà confiance en elle ? Elles n’apportent pas grand-chose. Pour une personne qui a besoin de ces mots pour l’aider ? Elles possèdent un véritable pouvoir.
Il y a des moments dans ta vie où tu dois suivre la dynamique que tu as développée dans la dernière partie de ta vie. Tu dois recevoir les prières et profiter de tes bons efforts pour te permettre d’être au mieux fondé pour créer la prochaine partie de ta vie.
Parfois, tu es chanceux et tu peux utiliser ce temps-là pour gagner l’inspiration pour les prochaines étapes. Peut-être es-tu encore plus chanceux et tu peux former le plan dont tu as besoin pour être en direction de tes espoirs. Peut-être plus chanceux encore, et tu peux développer les compétences, voire mieux, pour créer les fondations sans abandonner les responsabilités de cette étape.
Mais parfois, tu as besoin d’inspiration qui n’est possible que dans l’espace négatif dont nous avons déjà parlé. Alors, tu dois utiliser le temps pour vider tout ce qui peut te retenir.
Après, lorsque tu trouves cette inspiration, développe un plan, tu dois suivre le plan. Tu dois dire non souvent. Mais quand il y a une inspiration qui vient du vide, n’hésite pas à dire oui.
Profite du plan, mais les plans sont faits pour être changés. Ils sont faits pour toi, pas contre toi. S’ils grandissent, tu peux grandir avec eux.
Allons-y.
J’ai pris du temps pour améliorer mon français maintenant. Alors, je pense que je vais faire de petites réflexions chaque jour. J’espère que les corrections que ChatGPT fait vont être de moins en moins nombreuses chaque jour 😉
Aujourd’hui, je réfléchis aux espaces négatifs. Ces brefs moments de répit dans l’esprit, sans aucune pensée qui le traverse. Ces espaces négatifs où de nouvelles idées peuvent émerger, pour le meilleur ou pour le pire. Des espaces sans direction définie, qui ne cherchent pas à en avoir une. Je ne parle pas des idées complètes qui surgissent avec force et tumulte, puis tombent dans un silence instantané, occupant un espace physique à ce moment-là. Non, elles n’étaient pas là, mais elles trouvent un instant de silence, se mêlant à la quiétude, au vide, à l’espace négatif, sans que l’on sache si elles émergeront de cette négativité pour devenir positives.
Je pense à l’espace négatif, mais pas dans un contexte artistique. Plutôt dans le contexte de la vie.
Quand tu te trouves dans une pièce, tu observes les objets qui occupent l’espace.
Un tableau, une table, des plantes, un piano.
Mais c’est l’espace négatif qui te donne l’opportunité de respirer. De réaliser qu’il y a bien plus de place pour grandir, même si ce n’est pas nécessaire. De trouver la paix. Cet espace où le monde s’ouvre, est présent, avec bien plus de potentiel, et pourtant déjà complet.
Les enfants voient dans l’espace négatif une source d’excitation et de possibilités. “C’est là que je veux créer,” pensent-ils. Beaucoup d’adultes perdent ce sens de l’aventure. Mais certains le conservent, découvrant ainsi d’autres secrets. Ils apprennent la valeur de laisser cet espace tranquille, de simplement l’observer.
D’être là avec lui.
De le laisser comme un souvenir.
D’être là.