Réflexion de la journée: espaces négatifs

J’ai pris du temps pour améliorer mon français maintenant. Alors, je pense que je vais faire de petites réflexions chaque jour. J’espère que les corrections que ChatGPT fait vont être de moins en moins nombreuses chaque jour 😉

Aujourd’hui, je réfléchis aux espaces négatifs. Ces brefs moments de répit dans l’esprit, sans aucune pensée qui le traverse. Ces espaces négatifs où de nouvelles idées peuvent émerger, pour le meilleur ou pour le pire. Des espaces sans direction définie, qui ne cherchent pas à en avoir une. Je ne parle pas des idées complètes qui surgissent avec force et tumulte, puis tombent dans un silence instantané, occupant un espace physique à ce moment-là. Non, elles n’étaient pas là, mais elles trouvent un instant de silence, se mêlant à la quiétude, au vide, à l’espace négatif, sans que l’on sache si elles émergeront de cette négativité pour devenir positives.

Je pense à l’espace négatif, mais pas dans un contexte artistique. Plutôt dans le contexte de la vie.

Quand tu te trouves dans une pièce, tu observes les objets qui occupent l’espace.

Un tableau, une table, des plantes, un piano.

Mais c’est l’espace négatif qui te donne l’opportunité de respirer. De réaliser qu’il y a bien plus de place pour grandir, même si ce n’est pas nécessaire. De trouver la paix. Cet espace où le monde s’ouvre, est présent, avec bien plus de potentiel, et pourtant déjà complet.

Les enfants voient dans l’espace négatif une source d’excitation et de possibilités. “C’est là que je veux créer,” pensent-ils. Beaucoup d’adultes perdent ce sens de l’aventure. Mais certains le conservent, découvrant ainsi d’autres secrets. Ils apprennent la valeur de laisser cet espace tranquille, de simplement l’observer.

D’être là avec lui.

De le laisser comme un souvenir.

D’être là.